L’autre problème majeur est la gestion du capital. Par capital, il faut évidemment bien comprendre qu’il s’agit de la « ressource humaine », capitalisée sous la forme de sécurité sociale, ce qui explique la hargne de l’agent des Rothschild pour la privatiser en s’assurant de son contrôle absolu.Ce capital est géré par les propriétaires de ces banques privées ce qui fait d’eux des criminels contre l’humanité coupables d’esclavagisme et dégradant ce capital (« ressource humaine ») au rang de serfs modernes.