Le système capitaliste est pourri par essence et ce depuis l’aube de sa création au 18e siècle. Davos, Bidelbeiger, la Trllatérale, mais aussi l’OMC l’outil de gestion ou la BCE. Les journaux télévisés grand public exaltent les performances de « réussite » d’une France qui gagne celle des chefs des entreprises côtées sur les Bourses au plan mondial. Osmose entre capitalisme industriel et capitalisme financier qui sont comme l’oeuf et la poule. C ’est la boucle de la consanguinité perverse dans laquelle les citoyens lambda se perdent en compréhension pour celui qui voudrait décoder les bilans financiers, comptes d’exploitation maquillés, capacité d’autofinancement et cash flow, relayés par le trading boursier des grandes Banques qui vont jouer les gains sur les places boursières. Si ils perdent ? pas de souci c ’est rembourser par les assurances (produits dérivée). Si les faillites bancaires arrivent ? pas de souci c’est l’Etat qui épongera les pertes des structures réputées too big too feal, comprendre on ne peut pas les laisser tomber sinon c ’est le champ complet de l’économie qui s’écroule. Le dernier avatar c est 2008 mais.. cela ne peut que recommencer.
A la base c’est simple c’est un système qui recycle la plus value en actions dopées via le shadow banking.
En France la fiscalité des profits est soit optimisée, soit frauduleuse car détournée dans des paradis fiscaux des sociétés off shore qui sont des montages financiers souvent hors la Loi. Ces détournements fiscaux s’élèvent à environ 150 milliards/an sans compter la fraude à la TVA et au détournement des impôts (sous le nez de Bruxelles) d’exonération capturés dans le circuit frauduleux au titre de la TVA sur l’environnement et l’écologie ; ceci bien sûr est pareil dans 95% des pays de la planète. Après, allez lutter contre ça...