On ne le dira jamais assez : ce virus, s’il fatigue beaucoup les corps, n’est mortel que rarement ; en revanche il est le lit de bactéries qui, profitant de la faiblesse, s’installent et peuvent provoquer souvent une pneumonie funeste.
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D’où, comme le préconise le professeur Raoult, la nécessité de dépister au plus tôt ; et même comme je le dis dans un billet ce matin, de traiter TOUT LE MONDE en prenant la peine de surveiller si certains (il y en a toujours avec les traitements vraiment actifs) le supportent mal.