A l’auteur,
Alors, ca y est,on remet en route le Voyage...
Pardon, excusez..Tu parles d’une campagne ! Chemin des Dames !
Rigolons, Rigodon ! Fuyons vers le Nord, mais alors le vrai, le massif, celui qui est au delà de Kocke le Zoute.
Fuyons le Vaudescal, avec ses chemises toujours trop propres pour qu’il soye tout à fait honnète ( vous voyiez qui). Un rancunier et un retors. Y en a plein les Quais...
Fuyons Mandamour, laisons le là, écroulé dans les odeurs. Il est bien là, qu’on se dit.
Fuyons méme la petite Muysne, qui n’est jamais allée à New York.
Regardons cette élection passer comme un remorqueur près des écluses. (je cite de mémoire)
« Au loin, le remorqueur asifflé. Son appel a passé une arche, un pont, un autre pont. Il appellait vers lui toutes les péniches du port, toutes, et nous aussi, et la merde avec , la chiènerie, la mort, et nous aussi, tout qu’elle appellait, qu’on n’en parle plus. »
Bref, et si la solution , pour passer ces deux week-end difficiles, où la féerie sera encore pour une autre fois, c’était de relire le Voyage, cette Bible paienne ?