@Fergus : « Ne pas confiner alors, c’était courir le risque de voir les structures hospitalières complètement débordées et contraintes de faire des choix entre les malades appelés à être soignés et ceux que l’on aurait laissé mourir, avec ou sans traitement palliatif ! »
Mais pourquoi n’a-t-on pas demandé au privé de participer à l’accueil des malades, alors qu’ils ont plus de lits que le public ? Ça plus que doublait les capacités.
Ça cache quoi ?