Finalement, cette « maladie » qui règne actuellement, dont les symptômes semblent varier de la toux à la fièvre en passant par la suffocation, la chiasse ou une migraine ou des plaques sur la peau ou étourdissement ou, ou, ou... N’est-ce pas tout bêtement la « grippe saisonnière » toute aussi mystérieuse en fait, différente chaque année etc.
Si on en croit toute une branche, certes ténue, de la recherche et de la médecine ( https://bistrobarblog.blogspot.com/2020/04/a-lire-antoine-bechamp-et-les-microzymas.html ) qu’on peut résumer par : "Ce ne sont pas les mouches et les asticots qui font les
ordures, mais les ordures qui font les mouches et les asticots…« le »virus" est une mystification. L’empoisonnement chimique, pharmaceutique et radioélectrique nous amène pour nous détoxifier à produire ces virus, objets jamais réellement isolés et observés en tant que specimen. La plastique qu’on leur connaît est essentiellement une chimère et le rôle qu’on leur attribue est un leurre. De façon saisonnière, nos organismes ont besoin de se nettoyer ce qui nous affecte proportionnellement à ce qu’il y a à évacuer et qu’on évacue dans des virus, non-contagieux car non-vivants.
Une vieille personne qui prend 3 fois par jour une dizaine de cachets prescrits par la médecine allopathique pour tous ses maux petits et grands et se vaccine contre la grippe est effectivement bien une personne à risque vu sous cet angle...