De la philosophie de comptoir
Du Yavéka Fodrécon
Sauf que la réalité et bien plus simple.
C’est le symptôme d’un état impuissant et en ruine.Beaucoup plus que celui d’une politique pénale plus ou moins sévére.
Quand la psychiatrie est à l’agonie, la justice dépassée et que la pénitentiaire est exsangue, il n’y a rien d’étonnant à avoir de potentiels tueurs/violeurs/cintrés.
dans nos rues.