Ce qui est important dans cette affaire de vaccins, réponse logique à la stratégie de la peur et du chaos mise en œuvre dans les démocraties occidentales, ce n’est pas tant de savoir si oui ou non on protègera le corps des citoyens :
Non, ce qui compte c’est de leur dire que leur corps ne leur appartient plus.
Un homme dont le corps ne lui appartient pas n’est plus un homme, c’est une bête.