Rien à redire à ce texte.
Qu’il s’agisse d’un effet d’aubaine pluriel ou d’un coup finement monté de A à Z, ça reste une affaire de gros sous au final, au mépris des malades, des morts et des bien-portants.
Ces gens-là vivent sur le dos des malades, et plus il y a de malades mieux ils vivent.
Un peu comme nos chers médias, qui vivent sur le dos des catastrophes, et plus il y a de catastrophes...
D’autres vivent sur le dos des peureux, et plus il y a de peureux, plus leurs mesures liberticides font florès.