je ne parle pas des temps anciens, je parle d’aujourd’hui :
« oui, j’en ai des preuves que vous payez mal, très mal ce que vous importez ! Je cite la mauritanie, la mer de mauritanie est achetée au vrac, les navires français, italiens et espagnols ne payent pas la marchandise mais payent un prix dérisoire »d’exploitation« . Je cite l’huile d’olive en tunisie, où on impose aussi bien le prix que la quantité achetée par l’UE. ».