Les campagne de Jospin en 2002 et de Royal en 2007 ont en commun qu’elles sont pleines de bourdes, paraissent mal organisées, pour ne pas dire « amateur », et parfois divergentes des opinions des autres membres du parti. Si les socialistes veulent gagner, il leur faudra une organisation sans faille, en ordre de marche, un discours défini à l’avance et qui ne varie pas sur le fond. On imagine mal un sportif de haut niveau visant la médaille d’or arriver aux jeux olympique sans être préparé, ni sans stratégie établie.