Alors que Descartes cherchait encore !
A la même époque, Pascal, avec son « principe cognitif » :
« Toutes choses étant causées et causantes, aidées et aidantes,
médiates et immédiates, et toutes s’entretenant par un lien naturel et insensible (lien écosystémique )qui lie les plus éloignées et les
plus différentes, je tiens pour impossible de connaître les parties sans
connaître le tout, non plus que de connaître le tout sans connaître
particulièrement les parties ».
Donc à la même époque Pascal avait déjà tout compris de la complexité des choses. Il a entrevu bien avant l’heure la notion d’ « écosystème », ainsi que les prémices de cette nouvelle physique, la « quantique » qui établit formellement la « complexité » des choses, en toute chose, contre le simplisme cartésien !
Werner Heisenberg,
un des pères et pairs de la physique quantique, s’exprimant au sujet de la
vision cartésienne du monde, écrivait au cours des années 50 dans un livre,
intitulé « Physique et philosophie », que « la limitation
cartésienne a profondément pénétré l’esprit humain durant les trois derniers
siècles qui ont suivi Descartes et, il faudra longtemps avant qu’elle ne soit
remplacée par une attitude vraiment différente à l’égard du problème de la
réalité. »
La physique quantique nous a donné les « acquits intellectuels du XX è siècle », dont tout le monde se fout royalement, tout comme du « principe cognitif de Pascal » ,ceci à tort !
La physique quantique nous a laisser trois théorèmes dont nous devrions tenir compte concernant le savoir :
Le principe d’incomplétude.
Le principe d’incertitude.
Le principe d’impossibilité... entendez de la perfection !
Nous ferions bien de nous inspirer de ces trois principes !