Bonjour
Je ne suis pas de ceux
qui pensent que le CO2 d’origine anthropique, soit un élément essentiel dans le
réchauffement. Même la théorie radiative de l’effet de serre, développée par
Fourier et Arrhenius pose quand même quelques problèmes, car elle n’est qu’un
postulat
Mais, si on veut aller dans le sens d’un effet
de serre, lié aux GES, Je m’étonne que les spécialistes Giec, ne se soient pas
interrogés sur certaine découvertes
récentes .Mais on comprend que ces gens ne s’intéressent qu’a ce qui va dans le
sens de leur doxa.
Le Giec s’en tient au CO2 anthropique, qui,
faut-il le rappeler, ne compose que 3 à 6 %
des 0.041 % de volume de CO2 de l’atmosphère terrestre. Le reste
soit 94 à 97% d’origine naturelle (océans,
faune, flore, volcanisme). Les océans sont les grands régulateurs climatiques
ils peuvent être puits ou émetteurs de CO2 en fonction de leur température. En
général quand ça réchauffe, ils émettent du CO2 en grande quantité ;
pratiquement 50% des émissions naturelles sont océaniques soit de très loin,
bien plus que nos émissions anthropiques.
Donc d’autres pistes
de réchauffement de l’océan sont ou devraient être activées :
Depuis quelques
années, des chercheurs trouvent sous les deux pôles des « points
chauds » important de chaleur à l’intérieur de la Terre sous la glace en
antarctique. https://www.climato-realistes.fr/flux-de-chaleur-geothermique-sous-le-glacier-thwaites/
Et sous l’arctique, les souffleurs de la fameuse dorsale
Gakkel, qui déversent des millions de M3 d’eau très chaude ou en sont les
recherches ?
https://actugeologique.fr/2020/09/des-eruptions-explosives-a-4000-metres-de-profondeur-sous-locean-arctique/
Quelle est leur action
et celle des nombreux phénomènes volcaniques sous-marins sur la fonte des
banquises et le réchauffement océanique sachant qu’on n’a pas encore
exploré plus de 2% des fonds océaniques,
comment incriminer la civilisation humaine comme unique responsable de ce
réchauffement.
Et encore
Une étude de la NASA
sur le trou de la couche d’ozone,
« https://reporterre.net/Les-gaz-HFC-bons-pour-l-ozone-terribles-pour-l-effet-de-serre »
Cette même étude Nasa
révèle que les gaz CFC qui ont été imposés sur les systèmes de réfrigération
par le protocole de Montréal en 1989, ont
un pouvoir 2500 fois supérieur à celui du CO2 en matière d’effet de serre.
Etonnant de constater
sur les relevés de températures mondiales que c’est au début des années 90, soit
dans les années qui suivent cette mise en œuvre des gaz CFC, que la courbe des
températures atmosphériques s’est élevée plus rapidement de 0.6 degrés par
rapport à la moyenne du début du 20 siècle.
https://www.les-crises.fr/climat-8-analyse-rechauffement/