J’aime beaucoup le raisonnement de l’auteur :
Il n’est pas besoin d’inscrire dans la constitution et par la de sanctuariser d’une manière particuliere le droit des femmes a dispser de leur corps. dont acte
qu’en est il alors du droit de propriété ? ou du taux maximum d’impot fixé on ne sait comment ni sur quelle base a 60% ?
Résumons ; les hommes avec un petit h peuvent d’une simple loi modifier le droit qu’a une moitié des etre humains de disposer de son propre corps , mais les citoyens (et citoyennes) ne peuvent de la meme manière établir un niveau d’imposition supérieur a 60%..... il y a des choses trop grave pour les laisser au bon vouloir de la populace fut elle parlementaire.