Bonjour l’apostilleur,
Vous avez soulevé en moi de bien beaux souvenirs...
Et, en me promenant sur un sentier de la Digue, je me trouve nez à nez avec une de ces énormes tortues. Elle tenait tout le chemin et impossible pour moi de bifurquer ni à droite, ni à gauche.
Elle soufflait comme un asthmatique, la gueule ouverte.
Bon, je décide de passer quand même. Je l’enjambe, monte à cheval sur son dos, glisse vers son derrière, et me retrouve enfin sur le sentier.
Quant aux coco fesses, c’est une belle et étrange oeuvre de la nature.
Merci de ce moment de rêve.