« De quelle transition parle-t-il : écologique ou énergétique ? »
Dans la pratique, il n’y a en fait aucune différence : la transition écologique n’est que le vertueux prétexte dont se drape la com’ d’une transition énergétique qui n’a en fait strictement rien d’« écologique », mais se propose de « verdir » nos centres urbains et soulager la bonne conscience des bobos en délocalisant la pollution vers les pays producteurs des matériaux qu’elle nécessite.
« Un risque s’anticipe pour l’éviter. C’est à cela qu’on reconnaît une politique éclairée et responsable. »
« Gouverner, c’est prévoir ! » Mais nul n’ignore que le management de la start-up France ne requiert quant à lui que les slogans d’une com’ calibrée et ne se réduisant la plupart du temps qu’aux seuls effets d’annonce.
Pourquoi donc nos managers se feraient-ils chier à prendre les moyens de tenir leurs promesses quand, après avoir été successivement éborgnés, mutilés et gazés, puis confinés, bâillonnés, euthanasiés en Ehpad, QR-codés et « injectés », une majorité d’électeurs devrait tout aussi docilement applaudir en se les gelant et le ventre vide la « sobriété » qu’on leur a préparé.
C’est tellement efficace qu’une majorité d’électeurs lobotomisés devrait en redemander !