« Merci à tous pour vos retours et les amorces de discussion sereine ! »
Il n’y a pas de quoi, c’est mérité.
Bon, je ne vais pas discuter une fois de plus avec vous du coronavirus : nous connaissons tous deux nos points de vue respectifs. Je rappellerai seulement que le mien est issu du terrain.
J’ai toujours su qu’il pouvait y avoir un gouffre entre la sincérité et la réalité. Or vous êtes sincère, j’ai donc du mal à vous en vouloir.