Merci, thème qui m’a toujours passionnée. Me demandant pourquoi la perfection qu’avait atteint la Grèce de Périclès, n’a pas continué, et ne ne s’est transmise. Il fallut attendre la renaissance pour ressortir le savoir des anciens. Mais l’imprimerie étant réservée aux castes religieuses (cf le film : Au nom de la rose) ou à l’aristocratie, elle ne descendait que rarement vers le simple peuple. Notre civilisation européenne avait atteint le niveau le plus élevé (voir la Vienne de 1900 avec ses découvertes, ses artistes, ses intellectuels pour tomber dans la guerre 14-18. Qui suivi de peu le Naufrage du Titanic. Comme un signe déjà présent à l’époque, que la mythe du progrès avait du plomb dans l’aile... Combien de Beethoven, de Monteverdi, de Schubert aujourd’hui ? Le romancier Robert Merle a exploité le filon avec deux de ses livres : Malevil et l’île. Même thématique. Des personnes amenée à reconstruire un modèle social après une catastrophe. Et le même schéma en filigrane. Un modèle démocratique opposé à un modèle autoritaire. S’il y avait Athène, il y avait son contrepoids : Sparte... Le monde fonctionnent-il comme les vases communicants. Ou l’échec de l’un augmente celui de l’autre ?