Il n’y a qu’une manière de parler au maquereau de l’Élysée : après l’avoir dépouillé de sa couverture en peaux de bêtes bleues, lui en mettre plein la gueule jusqu’à ce qui râle pour un petit répit, juste le temps de l’envoyer au trou pour ce qui lui restera de sa misérable vie de bâtard de ploutocrate anglo-saxon ; je doute que ce couard congénital ait la moindre parcelle respectable qui lui permettrait une autre forme de sortie que de le dégager en morceaux suintants…