« La
désobéissance civile, face à un gouvernement qui oppresse de plus en plus et
qui n’œuvre pas pour la survie de son peuple, est une nécessité. »
Attention à ce concept de désobéissance civile, qui peut
souvent aux yeux de certains, justifier des actions de destruction du bien
commun, voire des exécutions arbitraires.
Quant à la dépendance aux organisations internationales, ONU,
et ses satellites OMS, Giec et Cie, bien sûr qu’il faut savoir dire non, voire ne
pas hésiter a s’en séparer. Ce sont des coquilles vides qui
nous coutent très cher ;(le machin disait Charles de Gaulle). Mais qui
donne bonne conscience aux états.
En matière de règlements des conflits internationaux, jamais
l’ONU n’a pu faire autre chose que de voter des résolutions, et envoyer des
observateurs ; elle n’a jamais pu empêcher les massacres de population. Liban
depuis 1978, Balkans 1992 1995 Massacre de Srebrenica, Afrique ; génocide
des tutsi, Ethiopie, Soudan ; la liste est longue.
Quant aux ONG internationales, elles ont depuis trop
longtemps pris l’habitude d’imposer leurs solutions aux gouvernements
.Solutions qui souvent au prétexte des droits de l’homme, ou de l’environnement,
organisent la mise en place de diktats ou
d’ukases, par les structures de décisions.
Dictats difficiles à supporter et qui la plus part du temps, aboutissent à l’effet
inverse de celui recherché.
(En Europe multiples
décisions iniques en matière d’énergies, de transition énergétique, de pseudo
lutte climatique, organisation et traités
des marchés agricoles, sanctions internationales inefficaces envers l’Iran et
la Russie..)
Effectivement, une minorité entend par ces biais divers,
diriger le monde et cela demande une vigilance renforcée, mais difficile a mettre en place.
https://theconversation.com/lafrique-est-elle-rongee-par-les-guerres-ethniques-85577