« L’armée russe a attaqué un pays : l’Ukraine. Cette armée a exécuté les ordres d’un homme : Poutine. La décision n’a pas été prise par le peuple russe. »
C’est un peu simplet comme point de vue.
Depuis le début de l’« opération spéciale » menée en février 2022 en Ukraine, le président russe Vladimir Poutine a exposé très clairement dans ses discours télévisés et meetings, les trois objectifs à atteindre :
- mettre fin à la guerre génocidaire dans le Donbass qui perdure depuis mars 2014. La junte de Kiev déploie tous les moyens possibles, financée principalement par les gouvernements américain et français, pour éliminer l’influence russe de l’est de l’Ukraine par des bombardements de civils, provoquant des milliers de morts et plus d’un millions et demi de réfugiés. Il a fallu donc récupérer cette région russophile pour mettre fin au conflit.
- stopper l’avancée de l’OTAN, un immense conglomérat contrôlé par les USA pour couper les relations économiques, culturelles entre l’Europe de l’Ouest et la Russie.
- éliminer l’idéologie progressiste du Nouvel Ordre Mondial qui veut imposer un Monde unipolaire, prônant le multiculturalisme, le métissage, la doctrine LGBT, l’immigration de masse, l’islamisation des sociétés, et détruisant les valeurs du patriarcat, de la famille. Poutine veut revenir à l’ordre du Christ, moteur de la civilisation européenne.