Qui sont-elles ? d’où parlent-elles ? Qui les financent ? par quel miracle obtiennent-elles des rendez-vous avec de tels politiciens en un tel lieu ? Pourquoi les media officiels se précipitent-ils pour en faire une telle publicité ?
Elles et leurs sponsors ne disposent d’aucune légalité (quelle institution représentent-elles ?), ni d’aucune légitimité (elles n’émanent d’aucun processus représentatif populaire).
Ce sont les questions qui devraient être posées à pauvres filles, non pas pour les humilier, elles ne comprennent même pas ce qu’on leur fait dire, mais pour mettre en évidence le spectacle dont elles sont de simples marionnettes et surtout pour démasquer les marionnettistes qui se feront un petit billet de ce spectacle.