Ses romans sont construits comme un problème de logique ou de mathématiques. Il s’agit de philosopher.
Si bien qu’on peut s’en fatiguer.
Si bien que les personnages, souvent abstraits, ne sont pas toujours crédibles, et même répétitifs. Surtout les personnages féminins, bien plus simples ou pas aussi simples, dans la réalité.
D’excellentes trouvailles, belle écriture. La Plaisanterie... Des nouvelles décrivant avec exactitude et férocité la logique de la foule, de la plèbe, des masses dès qu’elles ont un peu de pouvoir. On l’a vu lors de la folie covid.