la volonté d’abattre l’État, chacune pour ses raisons, des extrêmes qui finalement se nourrissent entre elles.
Au plus grand bénéfice du-dit état, qui saura toujours tirer parti de la situation. Il y a quelques cas d’école a étudier sur la nature des groupuscules « d’ultra-droite », notamment le PNFE dans les années 1980. Où il s’avéait que plus de la moitier des membres étaient... des indicateurs de police. Concernant la smala étiquetée « black-block » c’est encore plus risible. Depuis les lois sur la liberté de la presse en 1881, on trouve des centaines d’affaires « d »agents provocateurs« mandatés par la police, qui sort las mêmes excuses depuis un siècle et demi, »on en avait mais on a arrêté« , »c’est une initiative personnel d’un sous-fifre que nous allons sanctionné« , etc, etc.
Cerise sur le pompom avec dame Fatima Ouassak, dont notre auteur s’étonne avec une infinie candeur qu’on »la voit partout« ... Aurait-elle quelques puissants parrains ? La chère femme coche toutes les cases des principaux thème de l’ingénierie sociale »made in USA« , en particulier avec une écologie tournée vers la destruction du secteur énergétique français, au plus grand bénéfice des concurrents américains, une bonne posture »d’islamo-gauchiste" qui alimente la fable du choc des civilisations, sous les applaudissements israéliens, etc, etc.
Bref, la plus grande menace pour les français aujourd’hui, c’est l’état. Il n’a jamais été en France un grand modèle de démocratie, mais objectivement il est aujourd’hui totalement piloté par des intérêts étrangers, dont l’unique soucis est le pillage du pays. Ne nous étonnons pas dès lors de l’apparition de tous ces ultra-épouvantails.