Je regrette le départ de Marlène.
Elle incarnait symboliquement la Micronie : vulgaire comme une œuvre d’art postmoderne, éruptive comme un acné adolescent sur une peau trop grasse, elle habitait la Micronie avec une élégance de bovidé à nul autre pareil.
Que va-t-il donc nous rester ?
Une Elisabeth à deux dos, un Gabriel LGBT, un Gérald en mal de libertinage, Un Bruno à l’anus dilaté,
Une misère.