Michèle Rivasi fut une vraie combattante, et n’a pas cédé aux injonctions du Parlement Européen, en dénonçant sans relâche la corruption généralisée des élites avec l’industrie pharmaceutique, documents à l’appui.
Michèle Rivasi a mis par exemple en avant les clauses des contrats que Pfizer voulait signer avec les pays en Afrique et en Amérique du sud, c’était aux États de payer tous les frais occasionnés par les vaccins en cas d’effets secondaires graves, y compris en hypothéquant les richesses des pays.
Beaucoup de pays ont évidemment refusé ces contrats.