Les conflits armés frontaux, sont un crime pour celui qui en prend l’initiative. Il devra investir davantage que celui qui défend son territoire. Il devra soutenir le moral de ses troupes en questionnement sur les vrais motifs de l’initiative, et se battre contre des gens qui, eux, ont un motif légitime.
Les conflits par infiltration, sournois par définition nécessitent une approche différente, basée sur la diplomatie. Deux obstacles sont à surmonter. A)— la suppression stupide de la peine de mort, face à des terroristes qui vont piocher dans un livre dit ’saint’ pour se motiver. B)— l’économie mondialisée, la suppression des frontières, autant d’obstacles devant lesquels les gouvernements n’ont pas le courage de franchir, en raison d’une absence de vision d’avenir.
Le dirigeant qui aura le courage d’y faire front redonnera de la grandeur à son pays, à son peuple.