Pour des raisons de pratique d’un hobby très dépendant des conditions climatiques, je me doit d’observer de très près les prévisions météo, au jour le jour. Or, après des années et des années d’observations attentives, il m’ est arrivé à la conclusion que ces prévisions, même à très court terme, étaient très mauvaises dans l’ensemble. Les prévisions de force et direction des vents se sont avérées dans l’ensemble très aléatoires, et leur fiabilité très problématique. C’est à peine si les prévisions basiques de ciel ensoleillé ou de pluie se sont révélées exactes. Aussi, on peut se demander comment on peut montrer autant d’imprécision dans les prévisions à très court terme et autant de certitude dans le très long terme.
Je connaîs par cœur le fameux contre-argument : « il ne faut pas confondre la météorologie et la climatologie ». j’observe cependant que France 2, média du service public toujours prompt à relayer la doxa dominante, a désormais baptisé son bulletin météo quotidien du titre « météo-climat ». Y aurait-il un lien entre climat et météo, finalement, quand le conditionnement du public le nécessite ? Pour ma part, je ne souhaiterait pas confier la réparation du moteur de mon véhicule à un garagiste qui s’avèrerait incapable de changer une roue... De la même façon, rien n’oblige à croire les prévisions catastrophiques du climat à trente ou cinquante ans, annoncées par ceux qui ne savent pas dire avec exactitude le temps qu’il fera le lendemain.
Il ne faut pas s’y tromper. La manipulation médiatique sur une prétendue urgence climatique n’a qu’un but : imposer un sentiment de peur dans la population. Cette peur indispensable à l’instauration d’un régime dictatorial. Peut-on encore en 2023 douter de cette dictature qui s’impose petit à petit ?