https://twitter.com/DIVIZIO1/status/1748084486858813454
BREAKING NEWS : La question de la démission de Gabriel Attal se pose (déjà) à cause des mensonges sur ses faux diplômes. L’
est terriblement inquiet. Les services de renseignement sont en train de vérifier comment ils peuvent avoir les relevés de notes avant les journalistes si jamais n’arrivait pas à trouver la parade.Alors que le
, de façon intelligente, a fait entrer le sujet dans ses colonnes, l’air de rien, sans y toucher, pour ne pas se griller, et que les journalistes de se prennent des coups de pression pour renoncer aux enquêtes qu’ils ont lancées.Pendant ce temps,
conserve sur ce sujet un silence qui dit tout, ils ont compris que le moindre mensonge supplémentaire risque de les effondrer définitivement.Moi, plus modestement de mon côté, j’ai essayé de sauver la vie de Gaby. D’abord, j’ai essayé de mêler le sujet à une photographie de son sosie afin de tenter de détourner le tir, mais ça n’a pas marché.
Et voilà que le service communication de
a aussi fait l’erreur de l’année en tentant d’enterrer l’affaire au sujet des VAE et ça se retourne forcément déjà contre le Premier ministre qui est furieux. en démentant sur cette fameuse VAE a enfoncé considérablement . L’information explose désormais sur les réseaux. Et les rédactions complètement tétanisées essayent d’en parler sans se griller.D’ailleurs, l’absence du directeur de l’école pour violences conjugales n’aide pas, Laurence Dorléac étant plus rigoureuse et refusant pour l’instant les compromissions que lui demande l’Élysée, lui rappelant bien avec insistance que son budget dépend de ses décisions.
Bref, seulement une semaine après ces événement que vous avez été plusieurs millions à suivre ici, moi
n’est plus qu’à deux doigts de faire éclater le scandale. Il ne manque en réalité plus que quelques sources, les derniers courageux, qui depuis l’intérieur de hésitent à tout balancer.Il se trouve que le hasard fait bien les choses et que j’échange avec eux. Autrement dit, vous devez savoir que depuis une semaine, les faux diplômes du Premier ministre deviennent un véritable phénomène de société, d’où la campagne de dénigrement dans les médias à mon égard depuis quelques jours.
Même la presse américaine s’y intéresse, c’est dire. Je leur réponds que je ne crois pas évidemment qu’il soit possible qu’un tel génie, notre Léonard de Vinci du XXIe siècle, puisse tricher pour obtenir des diplômes.
Les journalistes américains répondent qu’ils ont interrogé
, qui refuse de leur transmettre les copies, alors ils ont pris l’avion pour aller directement dans les locaux, mais SciencesPo fait comme s’ils n’existaient pas. Comme les copies en fait.Les journalistes étrangers patientent donc en me disant « qu’il est vrai qu’à l’époque, Gabriel travaillait plus de 80 heures par semaine pour 6000 euros par mois, il est donc impossible qu’il ait pu passer des examens. »
Et je réponds que « c’est qu’ils ne savent pas qu’en France, les hommes politiques ne dorment que trois ou quatre heures par jour. Ils peuvent tout faire. Ce sont des surhommes. Des demi-dieux. »
Les journalistes américains disent que j’exagère et insistent à savoir pourquoi personne ne peut avoir accès à au moins une copie d’examen de
#GabyBug. C’est simplement que la perfection, ça ne se partage pas comme ça. Que des 20/20 avec un temps de présence exemplaire.Et puis, ils ont insisté et insisté pour avoir au moins l’une de ses copies. Alors, j’en ai fabriqué une avec l’aide de l’IA. À la manière de SciencesPo Paris. Donc le Premier ministre m’en doit une. Il a intérêt à me renvoyer la pareille.
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