« Dès lors trois attitude étaient possible : la soutenir,comme l’ont fait
les pays de l’OTAN, ne rien faire, comme certain(e)s le suggéraient, ou
justifier l’intervention Russe en rendant responsable l’Ukraine de
l’échec des accords de Minsk, ce qui signifiait ne rien faire. »
Non, monsieur, il existait une quatrième possibilité : négocier la paix.
Et c’est ce qu’a tout de suite voulu faire l’Ukraine et qu’à empêché l’Occident. Oublier ce fait permet de filer son narratif pépère tranquillou.