@tashrin
Très tôt l’on a su que ce virus était une arme biologique. Ce qui a été confirmé par David Martin qui s’occupe des brevets déposés notamment celui du gain de fonction. Ce qui implique une manipulation de séquences génétiques qu’il est possible d’incorporer dans le génome du virus à partir du site de transcription. C’est une manipulation qui est assez simple à réaliser en labo, ce qui est beaucoup plus compliqué est d’isoler la séquence que l’on veut incorporer. Le gain de fonction consiste à augmenter la virulence du virus. C’est comme une ligne de commande d’un programme informatique qui fait bugger un PC.
Pour faire simple si vous trouvez un même mot dans 2 livres différents cela ne prouve pas un plagiat mais si vous trouvez
des phrases entières, vous pouvez commencer à être suspicieux !
Si on trouvait chez
Flaubert la fameuse phrase de Proust « Longtemps, je me suis couché de
bonne heure », ce serait la preuve d’un plagiat… et personne ne parlerait
de « coïncidence » !
Le Pr
Montagnier a identifié ce genre de séquences longues et identiques
dans les deux virus : Une
séquence de plus de 18 nucléotides est très spécifique (un peu comme
un paragraphe entier d’un livre).
Ce qui veut dire que si vous trouvez une suite de 18 nucléotides identiques dans deux virus
différents, il est impossible que cela puisse être dû au hasard.
Et c’est ce qu’il a
découvert entre le virus du Sida et le coronavirus : et il n’y en a pas qu’une mais au
moins 6 séquences identiques de plus de 18 nucléotides ce qui est statistiquement impossible sans manipulation génétique.