Et aussi : j’aimerais bien savoir dans quel pays bienheureux vivait l’auteur, et pourquoi il est revenu se jeter en enfer, et pourquoi il n’arrive pas à trouver quelques heures de boulot en tant que prof d’anglais, alors que l’EN recrute des retraités, des étudiants sans encore de diplôme, et que les établissements de soutien scolaire, les business schools et autres instituts de formation recherchent sans arrêt des profils comme le sien, et aussi pourquoi il préfère habiter en ville alors qu’il y est à l’évidence malheureux, et que la campagne l’attend, bien moins chère et encore pittoresque. Il y a même des zones blanches sur le territoire, sans réseau, sans randonneurs vissés sur leur portable, imaginez un peu le pied !