c’est la face noire de la « transition » prétendue « écologique » et des « énergies vertes » écocidaires et ethnocidaires : elles engloutissent des montagnes de métaux rares, de ressources et matières premières, d’énergie, sans parler de leur extraction et de leur recyclage impossible — l’"extractivisme forcené finira, faute de ressources à extraire et d’usagers — jusqu’au dernier solvable...
l’electromobile, une insulte à ce qui reste d’intelligence en sus d’un mortifère acharnement dans un rageur déni de réalité...