Asselineau, comme beaucoup avant lui, n’ont aucune intention de se voir aux manettes.
Le but est de briller devant une poignée de convaincus de la bonne parole et qui vont espérer le grand jour, qui bien entendu ne viendra jamais de leur idole.
D’ailleurs son refus catégorique à la main tendu du clan souverainiste en dit long sur le bonhomme qui par sa position absurde ruine ce mouvement.