De fait, F Asselineau fait le choix d’un parcours solitaire, refusant l’action unitaire.
Le PRCF qui depuis sa création en 2004 mène le combat pour le frexit progressiste (par exemple lors des élections de 2004 : https://web.archive.org/web/20161220143833/http ://www.liberation.fr/france/2004/05/21/les-communistes-orthodoxes-bouderont-le-13-juin_480212) a ainsi toujours eu droit aux attaques de l’UPR d’Asselineau. Dans ce qu’il faut bien identifier comme une priorité d’attaque contre les tenants de la sortie de l’UE plutôt que dans l’idée de permettre leur expression diversifiée