Salut, peut t’on partir, repartir de zéro ? faire table rase ! d’un certain passé, celui de la compétition donc de l’élimination donc de la guerre comme du reste, genre destructions, tortures, etc ?
oui, pour ce faire il suffit de coopérer avec équité et bien plus a minima sur l’organisation x ou y etc de la vie pratique physique, manger, s’abriter, se vêtir et ce genre de choses. Ceci demande un autre état de notre esprit, celui qui est lié avec disons L’Origine pour faire ultra simpliste.
Notre état actuel comme depuis des milliers d’années sur la non route de la vie n’est pas lié à cette « Origine » ultime derrière laquelle il n’y a plus rien d’autre, tout le monde peut voir cela avec une logique simple ..celle ci doit inclure bien sur : « je ne sais pas »..c’est un jeu que je fais depuis assez jeune..cela prends quelques secondes,
Pour le moment encore il me semble mais ? que nous en sommes encore et toujours par choix délibérés globalement à : plutôt crever que de coopérer avec équité !car moi je veux plus..( il y a une ou des causes originelles à cela )
et ce à toutes les strates de la verticalité en valeur argent de ce monde tant désiré par tous sauf exceptions. ultra minoritaires.
Monde que nous faisons semblant de ne pas vouloir ...or ce monde ne peut que être ce que nous sommes devenus et voulons majoritairement, si si, .
A ce stade de bêtise intégrale de notre part, comme sœur Anne , je ne vois rien venir dans le sens du bon, du bien, etc
car en fait il suffira aux truands du sommet, si ils ne sont pas définitivement trop atteints de redonner un peu de pognon à tout le monde et nous rentrerons gentiment à la niche..et continuerons à jouer à tout pour ma gueule et à chacun sa merde, en gros, vie de non sens, de souffrance, de peurs, etc
il n’y a encore pour le moment aucune transcendance, on est encore et toujours dans la phase écroulement, mais sommes dans la déception d’avoir joué à la compétition qui élimine, au Monopoly etc en espérant gagner et d’avoir perdu..
COMPÉTITION = ÉLIMINATION
nous sommes dans la phase « le bal des perdants » et ceci juste pour faire écho à Bossuet :
"Mais Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer. Que dis-je ? Quand on l’approuve et qu’on y souscrit."
( Bossuet, Œuvres Complètes IV, édition Vivès, p. 145, « Histoire des variations des églises protestantes »
)
Mais aussi ceci :
( La Boétie, extrait du Discours de la servitude volontaire
, écrit par La Boétie alors que celui-ci n’avait que 18 ans (1574).
)
Pauvres gens misérables, peuples insensés, nations opiniâtres à votre
mal et aveugles à votre bien ! Vous vous laissez enlever sous vos yeux
le plus beau et le plus clair de votre revenu, vous laissez piller vos
champs, voler et dépouiller vos maisons des vieux meubles de vos
ancêtres ! Vous vivez de telle sorte que rien n’est plus à vous. Il
semble que vous regarderiez désormais comme un grand bonheur qu’on vous
laissât seulement la moitié de vos biens, de vos familles, de vos vies.
Et tous ces dégâts, ces malheurs, cette ruine, ne vous viennent pas
des ennemis, mais certes bien de l’ennemi, de celui-là même que vous
avez fait ce qu’il est, de celui pour qui vous allez si courageusement à
la guerre, et pour la grandeur duquel vous ne refusez pas de vous
offrir vous-mêmes à la mort. Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux
mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du
nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que
vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux
qui vous épient, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains
pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte ? Les pieds dont il foule
vos cités ne sont-ils pas aussi les vôtres ? A-t-il pouvoir sur vous,
qui ne soit de vous-mêmes ? Comment oserait-il vous assaillir, s’il
n’était d’intelligence avec vous ? Quel mal pourrait-il vous faire, si
vous n’étiez les receleurs du larron qui vous pille, les complices du
meurtrier qui vous tue et les traîtres de vous-mêmes ? Vous semez vos
champs pour qu’il les dévaste, vous meublez et remplissez vos maisons
pour fournir ses pilleries, vous élevez vos filles afin qu’il puisse
assouvir sa luxure, vous nourrissez vos enfants pour qu’il en fasse des
soldats dans le meilleur des cas, pour qu’il les mène à la guerre, à
la boucherie, qu’il les rende ministres de ses convoitises et
exécuteurs de ses vengeances. Vous vous usez à la peine afin qu’il
puisse se mignarder dans ses délices et se vautrer dans ses sales
plaisirs. Vous vous affaiblissez afin qu’il soit plus fort, et qu’il
vous tienne plus rudement la bride plus courte. Et de tant d’indignités
que les bêtes elles-mêmes ne supporteraient pas si elles les
sentaient, vous pourriez vous délivrer si vous essayiez, même pas de
vous délivrer, seulement de le vouloir.
Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres. Je ne vous
demande pas de le pousser, de l’ébranler, mais seulement de ne plus le
soutenir, et vous le verrez, tel un grand colosse dont on a brisé la
base, fondre sous son poids et se rompre.
ALEA JACTA EST..............carthago delenda est.. ce Carthage c’est nous...
si vis pacem para panem..
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération