L’obéissance de Bruxelles à Washington n’a jamais été aussi évidente.
Comment peut-on dire à Israël « la guerre est dangereuse, vous risquez une escalade au moyan-orient, il faut l’arrêter » et dire à l’Ukraine « allez y, battez-vous jusqu’au dernier d’entre vous, pas de danger que ça se propage à toute l’Europe »