Il faudrait en effet que l’être humain soit moins embourbé qu’il l’est dans le déni de sa condition ; qu’il ait par conséquent le souci de savoir contre quoi il se bat, pour avoir la moindre chance d’y changer aussi peut que ce soit. Mais qui sait, un Pape ayant proclamé que femme et homme ne sont pas des lapins, reste l’exégèse, bien que la Chrétienté ne soit pas seule en cause.
Quant à l’exonération de la loi de sélection naturelle, il semble bien qu’elle soit compromise par la résurgence de maladies “éradiquées” et l’apparition de nouveaux virus.
Quoi qu’il en soit, si la nature s’accommodait de la prolifération humaine, restent ses caprices imprévisibles, par lesquels elle rappelle sa toute puissance, que même les Dieux doivent craindre.
(Merci pour « gg »)