« »« » Car je suis Français AOC.« »« »
Bien dit, et cela m’amène à penser à certaines réflexions, déjà en questionnement...
Nous sommes visiblement, au regard de ces politiques, qui usurpent leur hégémonie en responsabilités, devenus « un gloubi boulga » qu’il faut savoir mixer, pour avoir le plus de quantité résiduelle possible à étaler, même, même si les ingrédients balancés dans le pétrin, sont d’essence peu compatibles.
il y avait récemment une émission sur un parc national protégé en Corse, domaine maritime et terrestre, où, tout ce qui y était englobé était protégé, jusqu’à
l’interdiction de jeter l’ancre d’un bateau en mer, ou, de toucher à la moindre fleur sur le littoral somptueux.
Mais là, comme dans beaucoup d’endroits....Quid des humains, qui pourtant sont hôtes de la région ?
Peut on défendre le mérou, les herbes aromatiques, et pas l’humain ?
Peut être que cet AOC, rendrait plus de responsabilité en véracité du cru, envers la nation.
Et pas seulement une « étiquette » mal collée, réutilisable et compostable, ; de ce qui est la vraie valeur humaine, attachée à son territoire.