Bonsoir Olivier...
C’est la description parfaite de la « pompe à fric ».
Une fois le tuyau, enfilé dans le réservoir à financement, puis amorcée, et lancée
( mais faut atteindre le débit de non retour ) s’accumulent les raisonnements, genre « ouais, mais bon, maintenant, si on arrête, cela couteras plus cher, que si on continue » ! ( moralité, être con au départ, demande à ce qu’on le reste, coute que coute, sinon ce serait pire encore)
Ben oui, sauf que, au début le sprint est lancé fissa, avec comme seul but :
Garder derrière soi, le plus loin possible, les conséquences qui peuvent faire arrêter le projet, avant que trop tard, ne soit financièrement possible .
Sous entendu..« Vous êtes de la baise, apprenez à courir plus vite, et vous aurez peut être les moyens de stopper l’hémorragie. Mais pour l’instant, la caravane passe, et vous saigne, même si vos aboiements inutiles se répercutent à flanc de montagne. »
Le reste, le côté « nature », Olivier, vaut mieux ne même pas en parler, tellement c’est hors de considération, face aux liasses en liesse !