Quand on vit à la tête du pouvoir, même par procuration, et que la quantité de schnouf, devient le seul repère pour envisager la suite ( une montagne de blanche pour les prochains jeux dIVERS s’y fier) il s’en suit une escalade inévitable de la destruction des neurones, et la perte de toute réalité, pour ne plus accepter de fonctionner qu’avec des stimuli, de plus en plus épisodiques, et qui deviennent petit à petit, LE monde parallèle, qui se substitue au réel, et vous projette dans un délire perpétuel.
L’Elysée, semble avoir « statut » ,de la plus grande salle de shoot du pays, Distribuant et consommant, à foison, avec comme seul rail conducteur, la seule manne, capable de satisfaire cette dépendance incontinente, à la lubricité .
J’attends avec impatience, le jour où une ambulance ( et je reste poli) viendras récupérer les lambeaux d’une overdose, trop festive.