« »« »Independamment du fond (dont je me tape) , j’en peux plus des gens
qui ne disent ni ne font rien quand ils le pourraient, et en font des
tartines quand c’est de toute facon trop tard... L’indifference est le
plus grand des mépris« »«
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Ben c’est pas comme ça que cela se passe, et c’est visible, pourtant !
»Ces gens qui disent et qui ne font rien, quand ils le pourraient « cela peut s’appliquer dans des conditions »habituelles« soit....
Dans ce cas précis, vous, nous, sommes pris la bassine à purin,dans la gueule, alors qu’elle était en préparation de remplissage de puis près de 3 ans, et sous secret absolu. »Alors faire quand on pourrait« ne s’applique pas, quand la couillonnade est exprès montée, pour ce que de droit !
En faire des » tartines quand c’est trop tard « Et la faute à qui ? Parce que sans doute, il y a volonté de dialogue, d’échange, avec ce genre d’inclus exclusifs ?
»L’indifférence, est le plus grand des mépris !«
Peut être si celui ci ( le mépris) n’est pas déjà usité, par ceux qui comptent sur votre indifférence, pour faire la différence, et vous reléguer à la somme de moins que rien, puisque vous n’existez plus par votre silence considéré comme approbateur.
Même si vous l’érigez en drapeau du je m’en foutisme » cela n’atteint pas plus que la bave du crapeaud...." le premier à être méprisé par l’indifférence, c’est bien vous, nous !
Et deux fois, même si on accepte de jouer le jeu truqué, de cette partie échec et mat !