Merci de nous inciter à jouer.
Un président
se rêvant pétulant se retrouve un peu péteux. Postulant pourtant à la persévération dans sa pitoyable et pénible prestation.
Prétendant prolonger la procrastination nationale pour prétexte qu’il ne pourrait
pas pratiquer, présentement, un peu de pragmatisme en prime. Passant ainsi de la
posture de prima donna au profit du poste de pompier de service en ayant l’occasion d’être pour
une fois pertinent.
Et s’il nous foutait la paix en partant sans
perte ni profit. En s’abstenant de pousser notre patience à bout ?