Conservateur, réactionnaire, ce sont des mots valises, et parfaitement subjectifs.
En réalité, les conservateurs ou réactionnaires craignent — et s’opposent — à tous changements qu’ils supposent susceptibles les sortir de leur zone de confort ou de profit. On y trouve surtout des dominants, des normopathes et des larbins.
Par opposition aux progressistes qui misent sur tous changements susceptibles d’améliorer leurs conditions matérielles ou sociales. On y trouve autant de dominants que dans l’autre camp, mais davantage d’aventuriers et d’idéologues.