@Sylvain Rakotoarison
Article de propagande.
Un peu léger, le professeur. Rappelons que plus de 15 millions de personnes sont mortes dans le monde de cette pandémie.
Les gens sont mort de pneumonie parce que les médecins avaient interdiction de les traiter aux antibiotiques.
et les vaccins n’ont pas mis dix ans mais moins d’un an pour arriver sur le marché.
En fait, on ne sait pas encore, à l’heure actuelle, si ce sont vraiment des vaccins. Où sont les études qui le prouvent ?
en profitant de l’occasion pour remettre en cause la réalité du réchauffement climatique, et donc de son origine anthropique.
C’était hors de son domaine, comme du vôtre, monsieur Rakotoarison. Beaucoup de scientifiques réfutent la thèse du réchauffement anthropique.
sa forte médiatisation alors qu’un médecin doit d’abord soigner, etc.
Le problème, c ;est que les médecins se sont vu interdire de soigner.
il existe un consensus parmi les autorités scientifiques et réglementaires pour estimer que l’on ne peut retenir un bilan bénéfice/risque favorable à l’hydroxychloroquine dans son utilisation contre le covid-19.
Ceci est encore plus vrai pour les prétendus vaccins.
et a proposé aux patients comme salutaire un médicament insuffisamment éprouvé, en méconnaissance de l’article R.41 27-39 du même code.
Un médecin a le devoir d’essayer de soigner ses patients. Les études scientifiques sont une chose nécessaire, mais à défaut, il y a les connaissances et l’expérience du praticien.
Cinquième faute : Par ses remises en cause de la vaccination généralisée et des confinements,
De nos jours, l’efficacité de la vaccination généralisée et des confinements est de plus en plus remise en cause. Le vaccin n’empêche pas d’être contaminé et il n’empêche pas de contaminer les autres.
Didier Raoul aurait dû avoir la liberté de prescrire de l’hydroxychloroquine.
Il n’en avait pas la liberté, mais le devoir s’il pensait pouvoir soigner ainsi ses patients.