[. . .] « le bourreau est moins libre que sa victime si celle-ci est du bon côté de sa propre conscience. »
C’est ce qu’a irréfutablement démontré Frantz Fanon en matière d’esclavage et de colonisation.
Allant d’amble avec la conscience, dont elle une des composantes essentielles, la seule véritable liberté à laquelle on peut prétendre, est celle qu’on parvient a arracher d’abord à soi même entre ses deux oreilles, en la défendant et l’affermissant
chaque jour et jusqu’au dernier souffle de notre vie. . .