Herrhaine a fait semblant de déposer ce que vous dites : ils elles ont renvoyé la question du financement à un prochain moment où ils elles seraient au pouvoir, dans leurs rêves.
La confusion des esprits chez les tenants de l’extrême bourgeoisie LRNREZ est un régal constamment renouvelé.
Ils sont incapables de regarder le tableau qu’ils offrent à la
population, la collusion fétide des intérêts de la caste dominante est
dénudée.
La rage des partisans convaincus de herrhaine (une minorité de leur
électorat) ne parvient pas à les convaincre d’une prochaine victoire.
La bérézina de 100 % des
sondages est totalement absente des merdias.
On
n’a aucun besoin de s’en indigner, c’est bien normal :
l’information est ingérable par les merdias aux ordres… mais elle est très
bien connue.
C’est
pourtant un fait établi, valide et neutre, qui montre que l’outil
essentiel de la propagande de l’extrême bourgeoisie LRNREZ est
très friable.
Comme
le sont les manigances des mêmes officines, qui sont chargées de
démolir les statistiques de manifestants.
« Au
cul rance » avait même été prise en flagrant délit,
prétendant compter les manifestants sur un parcours ignoré par les
organisateurs.
Cela
dit, l’enthousiasme démesuré des candidats herrhaine a été du
plus haut comique, ignorant totalement le repoussoir qu’ils ont
représenté avec leurs attitudes triomphales et la nullité de leurs « analyses ».
Les
partisans de herrhaine n’ont aucune conscience du rejet, magistral
et sous estimé, de ce parti, qui continue évidemment à échapper à
toutes les techniques manipulatoires des sondages.
Réduit(e)s
à des fantasmes, comme « c’est vous qui avez voté micron »,
ils elles se croient meilleurs que ce piteux président de pacotille,
auquel ils elles pensent pouvoir se comparer avantageusement.
Quelle
erreur !
Que
l’immense majorité des gueux de ce pays perçoit herrhaine bien
pire que micron ne leur vient pas à l’esprit.
Que
la détestation fort généralisée de micron n’y change rien.
Que
la fébrilité et l’incompétence des bavards de herrhaine a encore
aggravé leur déficit de popularité, ainsi (parmi de très nombreux
exemples de débilité) que leur volonté de « privatiser »
bêtement le service public de l’information, accusé pourtant à
juste titre de propaganda de la macronie.