Il semblerait donc, qu’il y ait toujours un message derrière une femme nue, ou un homme à barbe.
Entre les déambulations des protagonistes, ceux qui tirent les poils du feu éditorial, et les autres qui remuent les braisent, ne sachant si il faut attiser, souffler, ou éparpiller.
Quand Rakoto se fend d’une histoire de « vie », lui, qui ensemence la terre, de tous les cadavres à sa portée, on peut se demander, ,pourquoi une telle ode au vivant, venant d’un croque mort qui en croque généreusement à la pelle, d’histoires qu’il habille de fausses nippes de vérités.
Généralement en déshabillant Jules, pour habiller son MentOr.
Alors le voir faire la danse du ventre éditoriale sur cette affaire....Non merci !