@ l’auteur
Dans la veine du titre de votre article que j’apprécie, me voila autopromu avocat de $atanyahou « himself » et voici succinctement un aperçu de ma plaidoirie, face au jugement de l’Histoire et son verdict :
« Primo,
conformément aux directives de Yahweh, nous avons fait de Gaza, de
la Judée-Samarie et du Liban, un gigantesque autel sacrificiel, où
nous immolons, sans considérations d’âge ou de sexe, les animaux
humains osant s’opposer à la volonté de notre dieu, en les arrosant
copieusement de temps à autres, tel l’encens sur la braise, de bombes et autre
missiles incendiaires, car l’odeur de leur tendre progéniture
grésillant dans les flammes plaît toujours autant à notre
divinité, dont nous avons d’ailleurs la ferme intention de reconstruire le temple.
Secundo, de la sorte nous faisons aussi de la place pour nos populations
dispersées aux 4 coins de la planète, qui pourront ainsi
s’installer et se multiplier à l’aise entre la rive occidentale de l’Euphrate
et la rive orientale du Nil, toujours conformément aux promesses de
l’éternel,
Tertio, nous pissons comme d’autres pleurent sur votre pseudo droit
international, votre déclaration universelle des droits de l’homme, votre charte de l’ONU et tutti
quanti, dont votre lâcheté a toujours empêché l’application nous concernant, car nous tenons pour seule légalité et légitimité les
volontés du dieu nous ayant élus.
Quarto,
grâce à votre infinie stupidité de goyim suprémacistes manipulable à souhait, nous
disposons de l’arme nucléaire dans le dos de votre de Gaulle, en passant sur le cadavre de JFK et plutôt que de partager cette terre
nous revenant de droit divin, nous n’hésiterons pas, tel Samson avec les
colonnes du palais, à la vitrifier de façon à ce que personne n’y
vive jamais à notre place ! »
Est
ce que ça commence à tilter les bas du front ?
Avez vous au moins conscience de votre foutue responsabilité dans ce merdier ?
Réalisez vous que l’orgueil incommensurable de votre prétendue supériorité civilisationnelle, a une fois de plus engendré historiquement un monstre à son image qui, à l’instar de la créature de Frankenstein, la détruira assurément, du moins ce qui en restera au terme de cette sordide et tragique farce ?. . .