l’abominable candidat « populiste » : sexiste, raciste,
fasciste, nazi, ordure, etc.
Ça, c’est le discours des grands médias.
Mais c’est Hillary Clinton
qui a eu le mot le plus dur : « les déplorables ».
Une sorte de génocide de la
la moitié de ses compatriotes.
En effet, les « déplorables »
ont-ils une raison d’exister ? Ces nuisibles peuvent-ils justifier leur
présence sur terre ?
Macron a été, dans l’ordre
des « progressistes » porteurs du « bien », plus amène si l’on peut dire :
il a parlé de ceux « qui ne sont rien ». Au moins ne sont-ils pas déplorables,
nuisibles, car le « rien », c’est rien. Juste les ignorer.
La faillite du progressisme est contenue dans ces quelques mots de Hillary et Manu. Ils ne s’en rendent pas compte : ils sont tous deux très intelligents mais il leur manque la moitié du cerveau, l’esprit.