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Fanny 23 novembre 11:11

 l’abominable candidat « populiste » : sexiste, raciste, fasciste, nazi, ordure, etc.

 

Ça, c’est le discours des grands médias.

Mais c’est Hillary Clinton qui a eu le mot le plus dur : « les déplorables ».

Une sorte de génocide de la la moitié de ses compatriotes.

En effet, les « déplorables » ont-ils une raison d’exister ? Ces nuisibles peuvent-ils justifier leur présence sur terre ?

Macron a été, dans l’ordre des « progressistes » porteurs du « bien », plus amène si l’on peut dire : il a parlé de ceux « qui ne sont rien ». Au moins ne sont-ils pas déplorables, nuisibles, car le « rien », c’est rien. Juste les ignorer.

La faillite du progressisme est contenue dans ces quelques mots de Hillary et Manu. Ils ne s’en rendent pas compte : ils sont tous deux très intelligents mais il leur manque la moitié du cerveau, l’esprit.


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